La start-up d’automatisation industrielle Bright Machines gagne 435 millions de dollars en devenant publique via SPAC

Bright Machines entre en bourse via une combinaison dirigée par SPAC, a-t-il annoncé ce matin. La transaction verra la société âgée de 3 ans fusionner avec SCVX, générant ainsi un produit en espèces brut de 435 millions de dollars.

Une fois la transaction réalisée, la start-up affichera une valorisation anticipée des actions de 1,6 milliard de dollars.

Les nouvelles de Bright Machines indiquent que le grand refroidissement SPAC n’était pas un gel profond. Et la transaction elle-même, en conjonction avec l’accord de chèque en blanc Desktop Metal annoncé précédemment, implique qu’il y a de la place sur le marché pour la liquidité de démarrage du matériel via les SPAC. Cela débloquera peut-être plus de capital de dernière minute pour les débutants axés sur le matériel.

Aujourd’hui, nous examinons d’abord ce que fait Bright Machines, puis les détails financiers qu’elle a partagés dans le cadre de ses actualités.

Qu’est-ce que Bright Machines?

Bright Machines tente de résoudre un problème difficile lié à l’automatisation industrielle en créant des micro-usines. Cela implique un mélange complexe de matériel, de logiciels et d’intelligence artificielle. Si la robotique existe sous une forme ou une autre depuis les années 1970, elle manque pour l’essentiel d’une réelle intelligence. Bright Machines veut changer cela.

La société a émergé en 2018 avec une série A de 179 millions de dollars, une somme importante pour une jeune startup, mais la société a une vision audacieuse et une telle vision nécessite un financement important. Il essaie de transformer complètement la fabrication à l’aide de l’apprentissage automatique.

Au moment de ce financement, la société a fait appel à l’ancien co-PDG d’Autodesk, Amar Hanspal, en tant que PDG et ancien fondateur et PDG d’Autodesk, Carl Bass, pour siéger au conseil d’administration de la société. AutoDesk lui-même a essayé de transformer la conception et la fabrication ces dernières années, il était donc logique de faire venir ces deux leaders expérimentés.

La thèse de la startup est qu’au lieu d’avoir des robots essentiellement «inintelligents», elle souhaite ajouter la vision par ordinateur et une forte dose de capteurs pour apporter une approche d’automatisation basée sur les données dans l’usine.

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