Attentes du budget 2021: ce que veulent les startups

New Delhi: Les startups ont été confrontées à des défis sans précédent au cours de l’année de la pandémie. Les fonds se sont taris et près de 40% des startups ont interrompu leurs opérations en mai 2020, selon un rapport de Nasscom. Désormais, dans l’espoir d’une reprise post-pandémique, les startups recherchent des secours et des changements de politique
Budget de l’Union 2021 qui les aidera à augmenter leur fonds de roulement, à attirer et à retenir les meilleurs talents et à faciliter l’entrée de capitaux en roupies dans le secteur.

Un aperçu des attentes budgétaires de l’industrie des startups en Inde.

1. Fiscalité ESOP: Alors que le gouvernement avait, dans le budget précédent, réduit la charge fiscale des employés en reportant de cinq ans l’impôt sur les plans d’actionnariat salarié (ESOP), ou lorsqu’ils quittent l’entreprise ou lorsqu’ils vendent leurs actions, on estime que seulement 400 startups ont a été autorisé à bénéficier de ce règlement jusqu’à présent.

Les startups exigent maintenant un élargissement de la portée des exonérations fiscales, suggérant que le gouvernement répercute cet avantage sur l’ensemble des quelque 40000 startups enregistrées auprès du Département de la promotion de l’industrie et du commerce intérieur (DPIIT).

2. Retrait de la certification IMB: Les entreprises en démarrage qui demandent des exonérations d’impôt sur le revenu en vertu de l’article 56 (2) (viib), ou des dispositions dites de la «taxe providentielle», doivent être approuvées par un conseil interministériel mis en place par le DPIIT. Cela a pris du temps. Les start-ups et les investisseurs exigent désormais que le gouvernement abandonne l’autorisation IMB et accorde l’exemption à toutes les startups enregistrées auprès du DPIIT qui soumettent l’engagement requis.

3. Accroître la participation des capitaux nationaux: Le secteur des startups et du capital-risque exige des changements dans les réglementations qui interdisent ou empêchent actuellement les grandes institutions, telles que la Life Insurance Corporation of India (LIC) et les fonds de pension, d’investir dans des fonds d’investissement alternatifs (FIA).

Ils disent que cela stimulera la participation du capital national dans l’industrie des startups en Inde, qui a jusqu’à présent été dominée par les monnies des États-Unis et de la Chine, tout en améliorant les sentiments pour les autres particuliers fortunés locaux et les family offices d’investir dans les startups.

4. Gains libres d’impôt sur les nouveaux investissements: Les organismes du secteur représentant les investisseurs en capital-risque exigent que le gouvernement exempte les gains en capital sur les nouveaux investissements effectués par les FIA, comme l’ont fait le Royaume-Uni et les États-Unis. Ils disent que la perte pour le Trésor public sera minime, car l’augmentation du capital affluant dans les startups et les MPME stimulera la création d’emplois et d’actifs.

5. Annulation du supplément « super-riche »: Alors que le gouvernement a annulé la soi-disant surtaxe «super-riche» de 25% sur le revenu entre 3 à 5 crore de Rs et 37% pour les revenus supérieurs à 5 crore de Rs pour les gains réalisés par la vente de titres cotés et pour les investisseurs étrangers, il n’a pas Je ne l’ai pas fait pour les gains issus de la vente de titres non cotés dans des startups.

Les investisseurs demandent au gouvernement de traiter les titres cotés et non cotés à parité, ce qui aidera à persuader les investisseurs locaux de soutenir les startups plutôt que d’investir uniquement dans des titres cotés.

6. TPS sous autoliquidation: Les start-ups qui se procurent des services auprès de fournisseurs étrangers paient la TPS de 18% dans le cadre du mécanisme d’autoliquidation, mais ne peuvent pas demander de crédits de taxe sur les intrants car elles ont souvent peu ou pas de revenus. Ils demandent une exemption de l’obligation de payer la TPS dans le cadre du mécanisme d’autoliquidation jusqu’à un certain seuil de revenus. Par exemple, toutes les startups enregistrées au DPIIT avec moins de 10 crores de roupies par an devraient se voir offrir une exemption du paiement de la TPS de 18%.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *